La soupe aux choux

Cela commence doucement. De nos jours, deux avions d’aéroclub souhaitent se poser en même temps sur un petit aérodrome civil américain et l’un grille la politesse à l’autre pour une urgence. Dans l’un, celui qui atterri en premier, une tête brulée, viré de l’armée pour stress post-traumatique, divorcé pour les mêmes raisons, pilote d’essai pour le salaire. Dans l’autre, la « comtesse », une scientifique française, pimbêche. Les deux se retrouvent ensuite au sein d’un programme de recherche, afin de faire voler un avion à grande vitesse grâce à un champ électromagnétique créé autour de lui, sensé limité les frottements sur l’air et donc le faire accélérer. Un test grandeur nature les fait plonger dans une faille spatio-temporelle et ils se retrouvent en France durant la première guerre mondiale. On se retrouve alors en plein film « la soupe aux choux » puisuq’ils sont pris pour des martiens par un couple de paysans français. On bascule ensuite dans lune famille d’aristocrates auprès desquels la « comtesse » se fait passer pour son aïeule. Ils n’ont qu’une idée en tête, revenir à leur époque et pour cela il leur faut un avion leur permettant de remettre dans les mêmes conditions, ce qui est possible si l’américain tête brulée parvient à se faire engager dans l’armée de l’air Française.

Bon, j’en reste là.

Je n’ai pas été convaincu par ce récit ni par les illustrations.